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Parents, tristesse et dépression
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL
mercredi 11 mai 2011, par J Zwobada Rosel


Il y a eu cette fillette qui pleurait tous les soirs lorsque sa mère lui faisait faire son travail scolaire. Elle était très réservée et au bout de quelques temps j’ai enfin compris ce qui piégeait mère et fille lorsque cette dernière m’a raconté les visites au cimetière où reposait la grand-mère. Sa mère ne supportait pas qu’elle aille jouer en riant un peu plus loin avec son petit frère. Lorsque j’amène la maman à m’en parler...

...elle me dit les larmes aux yeux que sa propre mère l’emmenait presque tous les jours au cimetière pleurer sur la tombe de l’enfant qu’elle avait remplacé, en exigeant qu’elle pleure !

  • Cet article se situe bien dans une rubrique spéciale "aux frontières de l’orthophonie", même si la réponse que j’ai donnée à l’enfant était bien inscrite dans une démarche orthophonique.

En effet, nous avons fait, avec cette fillette, un parcours dans l’imaginaire en lisant quelques contes de fées choisis par elle [1], inscrivant le parcours nécessaire dans un imaginaire culturel.

Un autre exemple est celui de Corine, DL, [2] présentée dans "histoire vraie ou vraie histoire". L’article illustre une analyse de ce type de référence et de la façon dont l’enfant l’exprime dans son expression langagière même.

  • D’autres cas ne semblent pas renvoyer de façon explicite au deuil de leurs propres parents que les parents de ces enfants n’arriveraient pas à faire, mais à ce qui parasite tout autant la capacité de l’enfant en question à se souvenir, fonctionnement de la mémoire indispensable pour apprendre. Certains de ces enfants nous éclairent alors en inventant des sortes de contes métaphoriques.

-  Les dates anniversaires peuvent ainsi être en rapport avec d’autres évènements qui ont marqué l’histoire maternelle, comme pour Noémie... RP et DL, et ses récits, en particulier "le dernier pirate" qui se présente comme une métaphore de la répétition de l’histoire écrite. Le blocage semble avoir été en relation avec un non-dit sur la question de son origine.

-  Il y a eu Manu*, DL-DO, piégé par l’absence de sa mère pour se construire,sans avoir pu se construire une représentation d’elle, ce qui est une toute autre problématique. Le nounours qui parle, et de ce fait "vit", parle pour lui, mutique pour rendre compte de ses "transgressions" de tout ordre.

-  Il y a eu Lucas, dysphasique, dont les parents étaient en pleine dépression face à la naissance d’un enfant polyhandicapé, qui, après une longue prise en charge où il a élaboré un jeu récit de sa construction identitaire ("le vaisseau" et "la maison") est allé voir quelque temps après une pédo psy.

  • Ces exemples posent le problème d’une prise en charge multiple, lorsqu’elle n’a pu se faire d’emblée [3]. Nous intervenons alors pour la préparer, jusqu’à relancer cette demande lorsque commence la période des résistances (oubli des rendez-vous, prétendu manque d’intérêt) en favorisant la re motivation voire en l’exigeant...

Deux exemples l’illustrent plus particulièrement tant sur ce site que sur le blog.

Laure

Laure (9 ans, CE2) revient des vacances de Noël, radieuse, avec une annonce : "j’ai demandé à voir un psy" et me dit en le chuchotant au creux de l’oreille "pour parler de papa et maman". Je suis ravie de la nouvelle...

Je n’avais rien suggéré à l’enfant mais nous avions évoqué, avec la maman, une telle démarche pour elle, ou son couple... au moment de l’anniversaire de la mort de sa propre mère. [4] Tout est parti du dessin d’une maison et des commentaires à 3 qui ont permis de préciser cet évènement et les réactions de la maman qui ne pouvait que pleurer... Avec la cadette, nous avons repris la généalogie familiale réalisée avec l’aînée avant le décès et que j’avais oublié de reprendre avec la plus jeune [5]. Sans guérir la maman, "le dit" permettait aux enfants de se re mobiliser provisoirement sur leurs apprentissages, libérant quelques tensions sans aller au cœur du problème pour autant [6].

Comment cette demande de "py" s’est-elle inscrite dans son parcours ?

Nous avions été amenées en parler lorsque les séances du mercredi matin [7] s’étaient mises en place, souvent à trois...
Elle est allée voir un psy "une fois" et j’ai cru/espéré qu’elle serait libérée de ces flux de parole qui meublent l’espace entre nous et lui permettent de s’évader de la tâche concernée.

Que s’est-il passé ensuite ?

Cela n’a été qu’un feu de paille. Et nous sommes repartis dans le champ des résistances à "comprendre". J’ai demandé en vain à la maman de lui reprendre un rendez-vous, de même pour un "vrai bilan orthoptiste" car son ophtalmo se contente d’une brève évaluation classique sans tenir compte de sa dyslexie... _ La maman ne peut programmer ce type de dépense dans les priorités familiales. Il me faut donc faire avec et nous pataugeons, sans réussir à mobiliser sa curiosité, du bricolage en quelque sorte.

Premier jeu improvisé
Premier jeu improvisé
Laure s’installe à jouer à 9 ans
Ce bricolage s’est poursuivi jusqu’à ce qu’elle réalise des jeux symboliques, avec le support de poupées, [8] puis avec le scénotest .
Premier scéno-test
Premier scéno-test
L’espace intérieur s’organise en lien avec l’extérieur dans un contexte familial

La première fois, devant sa mère, elle explore l’espace et l’organise sans tenir compte de la consigne, espace intérieur de la maison, jardin à l’extérieur. Parallèlement, elle complète la construction de maisons avec un logiciel (visuo-spatial) [9].

Elle demande à reprendre ce jeu après un début d’investissement d’un travail "méta" et si la première fois, elle joue au lieu de mettre en place un "tableau". La fois suivante, tout se désorganise dans une sorte de surenchère impliquant à chaque fois de nouvelles configurations familiales. Elle avait bien repris contact avec la rééducation en réalisant elle-même un carnet de rééducation qui n’est plus celui de sa sœur... mais très vite, le soutien scolaire de la maîtresse aidant, elle refuse tout effort, retombant dans ses routines : elle réussit très bien en classe...

Je décide d’arrêter (interrompre ? suspendre ?) la prise en charge après avoir "travaillé" sur les "tabous" des "gros mots" [10] de leur fonction d’injure etc., afin de l’aider à libérer sa parole. Nous avons eu un long entretien à trois, avec ses deux parents, pour l’encourager à aller voir le psy à qui elle n’ose parler alors qu’elle a tant à dire ! [11]. Paradoxe : elle était prête à lui écrire plutôt que de le rencontrer pourvu qu’on lui porte la lettre : la honte de ce qu’elle aurait à dire, peut-être ?

Jimminy

Jimminy, 8 ans passés, est-il en difficulté d’apprentissage dans un registre "dys" ?

Il a redoublé son CP mais ses résultats restent limites. L’instabilité de sa parole, de l’oralisation de sa lecture, évoquent un trouble des apprentissages, mais son comportement, la récurrence de certains thèmes dans sa parole spontanée, évoquent des troubles du développement psychique en lien avec une histoire familiale perturbée avant même sa naissance.

Première rencontre

Je connaissais sa mère et le contexte familial [12]. En effet, la maman, qui avait perdu sa mère très jeune, était venue me parler de ses difficultés personnelles, et je ne pouvais que l’encourager à aller voir un psy pour l’aider dans sa dépression... Dans ce contexte, j’avais longtemps résisté à accepter de rencontrer Jimminy car la prise en charge psy semblait s’imposer. Selon sa mère il n’était bien ni à la maison ni à l’école. Une collègue avait tenté de l’aider en maternelle pour la parole, les parents étaient allés consulter un pédo-psychiatre avec lui, il avait repris avec une psy qui attendait qu’il lui parle de ses problèmes ! Comme s’il en était là !

Extraits du Bilan initial avec la mère
Effectivement, il se présente comme un enfant à la limite de la discordance, avec des sautes d’attention, des idées « fixes » en quelque sorte récurrentes dans les thèmes de son discours et semble « lâcher » en classe, alors qu’il redouble son CP.
Il n’arrive pas à écrire assez vite ce que dit la maîtresse. Il ne sait pas tenir à jour son cahier de texte ce qui bien évidemment rend ses résultats très aléatoires.
Il lit les mots de façon totalement aléatoire (bien la première fois et complètement à côté la seconde dans la même phrase par exemple).
Il semble gêné par la présence des n dans les voyelles nasales, n’arrive pas à généraliser...
-  Les difficultés d’ordre perceptif sont à mettre en relation avec la parole orale, encore incertaine parfois mais ce qui inquiète le plus ce sont ces quasi absences...

Je décide de ne pas faire pour l’instant le bilan que je suis censée faire, certaine de trouver les déficits qui justifient une prise en charge et me centre sur « entrer en relation de communication » avec lui pour qu’il puisse se rassurer car je le sens perdu. A l’occasion d’une absence de la maman, je le verrai un samedi avec son père. Cet entretien a bien eu lieu peu après.

La rencontre avec le père
Il s’agit pour moi, non seulement d’entrer en relation avec le père que je n’avais pas vu pour R* (son frère), mais d’aider père et fils à se trouver dans un contexte qui aide à construire le temps que Jonas n’arrive absolument pas à percevoir.

J’insiste sur le fait que l’enfant se construit avec ses deux parents... et la maîtresse pour apprendre. Je ne parle ni de l’ortho (pour l’instant), ni de la psy (plus tard) dont la fonction serait de mettre des liens...

J’essaie de susciter la verbalisation de quelques affects associés à des souvenirs partagés :
Il a pleuré, il a eu peur dans un parc d’attraction (le train fantôme) En Tunisie, le soir il n’avait pas de pièces pour le flipper.
Je demande des mauvais souvenirs : Il a été brûlé par la cigarette d’une dame
L’eau coulait de la climatisation (il a fallu appeler la réception)
Le parachute ascensionnel.

Il ramène tout au fait d’être « interdit ».

Nous construirons le temps un peu dans le désordre, sur la base de son « histoire », mais des antériorités vont se faire jour dans le rappel antérograde de souvenirs de moments partagés (cf. ci-dessus), pour s’organiser à partir de sa naissance :
-  Avant, il évoque une photo de sa mère enceinte.
-  A la naissance il évoque un quiproquo qui pèse lourd dans leur relation. L’enfant a pleuré, son père n’aurait pas voulu de lui dit-il. Quand nous le reprendrons plus tard, son père lui aurait raconté qu’il était pas de lui ! « Après tu t’es calmé » dit son père.
Je lui fais évoquer des photos qu’il a vues de lui : il faisait des grimaces. Je le mets en lien avec les réactions de son père pour banaliser une situation qui renvoie clairement à un travail « psy »...

On parle alors des déménagements. Il n’y en a pas eu depuis sa naissance. C’est une façon de ne pas parler de celui de son père au moment de la séparation des parents.
Pendant cette discussion, il manipule de la pâte à modeler, une sorte de bonhomme à qui il met des lunettes pour regarder s’il est méchant ou gentil, le transforme avant de le laisser.
J’évoque le changement, la transformation comme les Barbapapa...

Nous reconstruisons le fait qu’il ne connaît pas vraiment les cassettes, Dessins Animés ou logiciels de son âge, comme s’il voulait sauter ce qui relève de l’enfance, « jumper » en quelque sorte.

Lorsque je lui demande s’il sait ce que cela veut dire, il répond :
-  quelqu’un qui vole des banques
-  qui se téléporte.

Je conclus sur mon projet de le faire « exister » avec des activités qui lui correspondent (cf. logiciels), adaptées.

Indications sur la prise en charge

L’enfant se montrait incapable de se concentrer sur une tâche j’ai donc renoncé à le guider pour apprendre, comme je l’avais tenté avec Laure.

Il fallait faire comprendre la nécessité de mettre en place des rendez-vous avec un pédo-psy. Jimminy avait évoqué un jour où je revenais à la charge [13], celui qu’il avait vu avec ses parents et où il "jouait". J’ai pris contact avec ce dernier mais il a fallu que la mère soit au chômage pour qu’elle puisse l’accompagner à des séances individuelles un autre jour que le samedi, consacré à une guidance parentale [14].

Et pendant tout ce temps j’ai tenté de l’accompagner dans la connaissance de son corps, sa recherche d’équilibre [15], il a découvert le jeu symbolique, passant d’agressions entre animaux à jouer encore et encore avec les boites au lieu de travailler à les catégoriser comme je tentais de l’amener à faire... à utiliser les poupées du scéno-test comme poupées vaudou après une crise de violence véritable appel au secours du fond de sa souffrance. [16]

Pour ne pas conclure

Il y a loin du diagnostic qui ciblerait un trouble purement "dys" sans problème psycho-affectif autre que celui résultant du handicap lui-même, aux problématiques que je rencontre assez souvent, mais non systématiquement dans ma propre pratique.

C’est pourquoi cet article se situe "aux frontières de l’orthophonie" et justifie l’existence de cette rubrique sur le site. Un(e) orthophoniste peut être un(e) thérapeute sans être pour autant un(e) psycho-thérapeute. Une rééducatrice dans un statut "Education Nationale" peut être tout autant susceptible d’amener l’enfant à une meilleure intégration scolaire.

Où situer la différence ?
De par ma formation pluridisciplinaire et les lieux où j’ai du pratiquer, j’ai le sentiment d’aider certains enfants dans une démarche autre que celle qu’aurait un "psychothérapeute", tant sur un plan relationnel que dans l’utilisation des supports proposés. [17] Cela tiendrait à la base même du contrat passé avec le patient (et, bien sûr, sa famille). Leur regard me situe comme orthophoniste et je m’efforce, en lien avec les psy des réseaux, de les amener à saisir l’importance de cet autre type de prise en charge.
De mon propre point de vue, en tant que "spécialiste" de la communication, si je tiens compte des difficultés cognitives de l’enfant dans le champ du langage [18] en tant que telles pour l’aider sur ce plan, c’est avec, comme arrière-fond, la conscience de la valeur symptomatique qu’ils peuvent avoir d’un point de vue "psy". Ainsi, cet arrière-fond, quand il n’y a pas de prise en charge spécifique pour l’aborder, m’amène parfois à accompagner l’enfant différemment à certaines séances, notamment pour entrer en communication avec lui ou rétablir cette dernière lorsqu’il repart dans son monde...

Sens à donner pour moi pour qu’il puisse trouver le sien propre en quelque sorte.


[1] Ce serait un travail indirect comme Bettelheim l’indique dans Psychanalyse et contes de fées

[2] dont la mère pensait être responsable de la mort de son propre père survenue le jour de sa naissance,

[3] Il est évident qu’une telle prise en charge aurait pu aider l’enfant comme l’orthophoniste dans les exemples précédents.

[4] Les deux enfants, Florette l’aînée dyslexique, mais encore plus la cadette semble-t-il, présentaient une sorte de blocage dans la période correspondante, chaque année, permettant d’entrouvrir un peu les vannes d’un deuil que la maman préférait éviter de faire, dans son mode de fonctionnement de maîtrise des affects, en évitant d’y penser.

[5] C’est une des raisons qui me font résister au désir des parents de me voir prendre également en charge d’autres enfants de la fratrie...

[6] Florette a souhaité s’essayer à réussir seule en fin de primaire, mais, revenue en 3e pour une demande tiers temps, n’a pu qu’à ce moment là commencer à essayer de structurer son approche perceptive, jusque là "topologique".

[7] seul jour où la maman pouvait être disponible

[8] On voit en arrière-plan le boulier utilisé dans l’activité que nous avions du abandonner, faute de concentration, boulier qui lui sert de support pour f aire tenir assises les poupées.

[9] Le lien ne peut se faire pour autant comme en témoigne sa difficulté à retrouver le mot frontière "murs" dans un article sur le Blog "Trou noir ou boite noire" à propos des Trois petits cochons.

[10] de Didier Mounié et Christian Voltz 2004 éditions du rouergue.

[11] Voir le récit produit au cours d’une séance sur l’Histoire dans "Mémoire et Apprentissage"

[12] car j’avais eu en rééducation son grand frère pour des problèmes avec l’écrit qu’il a réussi à dépasser superbement, avec des stratégies de surdoué même si les tests psy ne l’avaient pas confirmé au niveau d’un QI global...

[13] montrant à la maman que cet enfant en 2e CP ne pouvait toujours pas trouver la règle d’une séquence de dessins de couleurs dans un logiciel visuo-spatial

[14] Sa parole semble avoir permis, mieux que la mienne, de préciser quelques règles de vie.

[15] Voir "Imaginaire et réalité" sur le [blog

[16] Il les a réclamées comme telles lorsque au plus fort de cette crise j’en avais placées sur le plateau pour donner sens à ses hurlements en mettant le bébé, un personnage féminin quand il appelait maman dans ses marmonnements, et un masculin pour papa peu après...

[17] Il s’agit d’une démarche clinique au sens ancien de psychologue clinicien différencié de psycho-sociologue voire actuellement de neuro-psychologue.

[18] J’ai défendu dans ma thèse le fait que le méta se déclinait dans le champ cognitif et non, seulement linguistique.


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